Patrimoine

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  • Les fontaines

    Fontaine-lavoir dite Saint-Jean (XIX ème)
    Emplacement : Boisséjour – Rue Nestor Perret
    Fontaine lavoir en lave, recouverte d’une voûte en plein cintre, captage souterrain, sous le basalte, situé environ 30m au dessus.

     

    Fontaine place de Nemi (XIXème)
    Emplacement : Boisséjour – place de Nemi
    Bac fontaine (1815) avec mascaron diabolique de sortie d’eau, feuilles d’acanthe sur voussure.

     

    Bac-fontaine et statue de Saint-Martin (XIXème)
    ▶  Emplacement : Ceyrat – au croisement de la rue de la Varenne et de la rue de l’Eglise
    En lave. Présence d’une niche au dessus du bac fontaine dans laquelle se trouvait une statue en bois polychrome du XVIème, volée en 1984. Restaurée à l’identique, elle a été replacée telle qu’elle l’était avant le vol.

     

    Fontaine jardin de la cure
    ▶  Emplacement : Ceyrat – rue de la Varenne
    Fontaine située dans le jardin de la cure, à côté de l’église de Ceyrat, en plein coeur de bourg.

     

    Bac-fontaine et chapelle Notre Dame de la Délivrance (XIXème)
    ▶  Emplacement : Ceyrat – rue de la Varenne
    Fontaine en lave avec bassin polygonal et présence de 2 bornes monolithiques dont une est datée de 1854.
    Chapelle Notre Dame de la Délivrance (1872) avec intérieur voûté, maçonnerie non enduite, en pierres taillées, y compris dallage.

     

    Bac-fontaine (XVIème)
    ▶  Emplacement : Ceyrat – place de l’ancienne Mairie.

     

    Fontaine-lavoir du Qué (XVIII ème)
    ▶  Emplacement : Ceyrat – rue de Gergovie
    Edifice voûté construit en 1728, abritant un lavoir étroit formé de 2 plans de travail en lave, prolongé par un bac monolithique en lave semi-enterré, restauré en 1998 par un chantier international de jeunes, l’eau qui y coule est à 10°5 toute l’année.

     

    Bac-fontaine (XIXème)
    ▶  Emplacement : Ceyrat – place du Mas
    Bac-fontaine, copie de l’original de 1854, plus vasque.

  • Églises, chapelles et oratoires

    Église Saint Martin de Ceyrat (XVIII ème)
    Emplacement : Ceyrat – rue de l’Église
    Église à nef unique avec clocher porche. De grands travaux ont eu lieu en 1845.

     

    L’orgue à cylindre de l’église de Ceyrat.
    L’un des vitraux de l’église de Ceyrat.

    Église Notre Dame de la Nativité de Boisséjour (XIXème)
    Emplacement : Boisséjour – rue de l’Église
    Ancienne chapelle du XVIIIème, église à nef unique avec clocher séparé. Dans la nef se trouve la tombe du curé Jean Bernard (1793-1826).

     

    Intérieur de l’église de Boisséjour.

     

    Des vitraux de l’église de Boisséjour.

     

     

    Chapelle Notre Dame de la Délivrance (XIXème)
    ▶  Emplacement : Ceyrat – rue de la Varenne
    Chapelle Notre Dame de la Délivrance (1872) avec intérieur voûté, maçonnerie non enduite, en pierres taillées, y compris dallage.

     

    Oratoire Saint Martin (XIXème)
    ▶  Emplacement : Ceyrat – route de Romagnat
    Petit édifice voûté protégeant une statue de Saint Martin. Présence d’une croix au sommet de l’édifice.

  • La tour de Montrognon

    « Mons rugosus », la montagne rugueuse, élément important du paysage de la région clermontoise avec les ruines de son château médiéval

    Il fut construit vers 1190 par Robert 1er, Dauphin d’Auvergne, fils du comte Guillaume VII, troubadour célèbre, considéré comme l’un des chevaliers les plus magnifiques et les plus accomplis de son temps.
    Le château présentait un massif de constructions solides, bien assises. Au centre se trouvait une petite cour avec citerne. Le plan formait une sorte de trapèze entouré de bâtiments destinés au seigneur et à sa famille ainsi qu’à une garnison de cent hommes d’armes. Les angles étaient protégés par des tourelles à demi-engagées, surmontées de créneaux et reliées par de hautes courtines. Le donjon avait trois étages voûtés, surmontés d’une guette. La porte, en vue de Ceyrat était précédée d’un pont-levis et d’un fossé. Tout près il y eut longtemps un petit village.

    Ce château fut démantelé et rasé en partie en 1633 sur ordre du roi auquel il appartenait. L’une des principales tours restantes s’écroula en 1828, et une portion de la tour et un pan de murailles furent entraînés par le vent en février 1840. Ses ruines devinrent une carrière pour les habitants de Ceyrat.

    Sur l’affirmation que des milliers de pièces d’or se trouvaient sous Montrognon, Auguste Vignon et Joseph Gouny, dit Naca, piochaient depuis deux ans dans l’espoir de découvrir un trésor enfoui à l’époque des Templiers, lorsque le 23 avril 1884, ils furent ensevelis sous un éboulement. Vignon fut tué sur le coup. Naca fut sorti de sa tombe provisoire après sept jours et dix sept heures. Pendant quelque temps il gagna sa vie en s’exhibant dans les foires comme un miraculé.

    Le récit du sauvetage des « Ensevelis de Mont-Rognon » a été relaté dans plusieurs numéros du «Moniteur du Puy-de-Dôme» en avril 1884. Vous pouvez le télécharger au format PDF en cliquant ici.

     

  • L’amphithéâtre de Montaudoux

    Dans le cadre d’une campagne de fouilles entreprises depuis plusieurs année par le service de l’Archéologie de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) et de l’Institut de Recherches Archéologiques Préventive (INRAP) sur l’agglomération clermontoise, des sondages et des recherches ont été entreprises en 2005 et 2006 dans le secteur de Montaudoux, à coté des vestiges du « Mur des Sarrazins ». Ceux-ci ont abouti à la mise à jour d’un vestige gallo romain de tout premier ordre puisqu’il s’agit d’un amphithéâtre d’une capacité que l’on estime à environ 8000 places (la capacité du Zénith d’Auvergne). Le principe de l’élaboration d’un projet pluriannuel de fouilles et de valorisation de ce site a été accepté par les maires de Clermont Auvergne Métropole. Seul, un financement de Clermont Auvergne Métropole, du Conseil Départemental, de la Région, de l’Etat et peut-être de l’Europe permettra de rendre ce vestige à la vue des promeneurs.

  • Le Moulin de la Tranchère

    Le site de la Tranchère ou du Mounat (selon les époques) supporte un moulin depuis au moins le XVIIème siècle.

    Le chemin reliant le moulin au bourg de Ceyrat, traversait l’ancienne route du Mont Dore avant d’aller rejoindre le chemin du Lac. Ce dernier servant de digue à une étendue d’eau alimentée depuis le XIVème siècle par les sources descendant du Puy-de-Montrognon, était un élément important du réseau des anciens chemins ruraux.

    Portés sur la carte de Cassini (XVIII siècle) le moulin et son béal marquent le paysage. Il cessera de tourner vers 1900.

    Si la partie basse du bâtiment est surtout constituée par des angles et des encadrements en arkose, le 1er étage et le grenier présentent la suprématie prise par la pierre de Volvic dès la fin du moyen-âge.

    Une délibération du Conseil Municipal de Ceyrat avait décidé la remise en service de ce moulin (25 juin 1918); elle ne sera pas exécutée, la pénurie apparue lors de la guerre de 14/18 s’étant rapidement évanouie.

    L’abandon du site est effectif en 1920.

    Depuis 1997, quelques passionnés se sont constitués en association – loi 1901 – appelée Les Compagnons du Moulin de la Tranchère et ont reconstruit fidèlement le bâtiment trouvé à l’état de ruines.

    Désormais, après 5 ans de travail et avec l’aide de la Fédération Compagnonnique des Métiers du bâtiment, l’édifice a retrouvé son état voici un siècle et se trouve prêt à recevoir les équipements de meunerie.

    Inspirée des découvertes archéologiques gallo-romaines et des vestiges de Pompéi, cette reconstruction vise à restituer une boulangerie antique (8 x 4 m) avec four et moulin à bras telle que l’on pouvait en voir voici 2000 ans.

    Plus d’informations sur l’association Les Compagnons du Moulin de la Tranchère
    Site : http://www.123moulin.fr
    E mail : jpbrunpdd@gmail.com

  • La cave à Gaby

    La Cave à Gaby deviendra un lieu public de visite et de convivialité. Le toit a été refait entièrement, les murs extérieurs rénovés, la remise en état de l’intérieur va donc être la prochaine étape. Le but est de créer au rez-de chaussée un lieu dédié au chanvre et à la vigne puis de mettre en valeur les salles de cave en sous sol.